69ème jour :

« Les cœurs avares qui demandent peu m’attristent. »

Je répète cela pour nous fortifier encore dans le désir, la persévérance dans la prière, « Plus on a confiance et plus on obtient. J’aime que l’on me demande beaucoup, car je désire donner beaucoup et de plus en plus. Les cœurs avares qui demandent peu m’attristent. »

Ceci pour mes frères prêtres et pour moi-même dans cette assemblée.

« Console mon cœur qui se consume de pitié pour les pécheurs. Dis au prêtre que les pécheurs les plus endurcis seront broyés par leur parole s’ils prêchent ma miséricorde inépuisable. Dis aux prêtres qui se feront apôtres de ma miséricorde que je donnerai à leur parole une vertu et une onction irrésistible. »

A travers ces paroles, nous sentons tout le rappel de l’Evangile et de la parole de Dieu en général.

Ensuite, le Christ a donné à sœur Faustine une icône du Christ miséricordieux que l’on retrouve maintenant un peu partout. Il est bon de ne pas s’arrêter simplement au visage, car c’est tout le mouvement du corps qui est un appel à la miséricorde. De son cœur jaillissent des rayons blancs et rouges qui signifient l’eau et le sang que Jean a vu jaillir de son cœur au moment où le soldat l’a transpercé par la lance. L’eau qui justifie les âmes, le sang qui est vie de l’âme. Puisse cette icône se répandre toujours plus et parler directement à chacun et chacune de la miséricorde infinie du cœur de Dieu.

 

18 novembre 1984 Paray-le-Monial : « Un souffle de miséricorde. »

 

Musique : Zino Saint Martin

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