Lc 15 : Prodigue

Témoin de vos efforts et de vos vœux, j’appréciais tout ce qu’il y a de doux et de consolant dans l’union fraternelle, et je répétais dans le secret de mon âme ces belles paroles de l’Ecriture : Oh, qu’il fait bon, qu’il est agréable de vivre unis de la sorte comme des frères ! Je vous avoue, mes chers Enfants, que vous allégiez de beaucoup le fardeau qui pèse encore en ce moment sur les épaules de votre vieux Père, et que si les circonstances ne se prêtaient pas à la réalisation de vos désirs et de mes besoin, j’étais puissamment encouragé à servir toutes les exigences d’une position que votre bonne volonté rendait facile. Aussi me dévouais-je de tout cœur en attendant le moment de la divine Providence

Lettre circulaire 1240. 7.01.1841.

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