Jn 5 : Agir selon le Père
Je ne crois pas, mon cher Fils, que le moment de la divine Providence soit venu pour aller à la conquête des âmes dans le Nouveau Monde.
Vous voyez les peines que nous avons pour soutenir ce qui est en France : il ne serait pas sage à nous d’aller nous établir si loin, tant que nous serons aussi peu riches en sujets. Je suis bien sûr qu’un certain nombre partiraient avec plaisir pour la Mission proposée ; mais nous ne sommes pas en mesure, et j’en suis quelque peu affligé.
Nous embrasserons très volontiers cette œuvre, lorsque le moment du Seigneur sera venu.
Lettre 1201, à M. Chevaux, 9.04.1840.