Qu’est-ce que célébrer l’ouverture du bicentenaire à Agen a représenté pour vous ?
Vivre un grand rassemblement avec toute la Famille marianiste autour de Mère Adèle. Elle prend davantage sa place dans la famille qu’avant et j’attends du bicentenaire qu’elle prenne toute sa place dans la Famille spirituelle marianiste. D’ailleurs, sa cause en béatification a été étudiée à Rome le 13 mai et se poursuit. A la Pentecôte, au moment du lancement du bicentenaire, c’est providentiel ! Difficile de ne pas y voir un signe.
Dans les évènement de ce week-end, quel est celui qui vous a le plus marqué ?
Le lancement du week-end à Lompian. C’est toujours émouvant de se retrouver dans les lieux qui ont marqué le présent d’Adèle de Trenquelléon et marquent notre présent. Cette petite chapelle de Lompian, charmante et recueillie, est un des lieux où sa vocation a grandi.
Parmi les évènements prévus, lequel sera le plus notable pour vous ?
La visite de l’icône du bicentenaire à toutes les communautés à travers le monde, qui représente Cana. Elle sera un lien puissant entre les membres de la famille. Ceux qui ne pourront pas venir auront l’icône des noces de Cana : chacun est invité à table avec les autres.
Que pensez vous de la clôture de l’évènement en Inde ?
Il ne s’achève pas, au contraire, c’est un lancement pour la suite. Les marianistes sont arrivés récemment en Inde. Aller là-bas laisse la porte ouverte sur un avenir qui stimule dans la foi et l’espérance. S’il s’achevait à Bordeaux, ce serait comme fermer une parenthèse alors que là, nous somme propulsés vers l’avenir.
Christiane Barbaux, Membre de l’Alliance mariale