8ème jour de carême : Mes limites à l’espérance
Dieu qui nous aime et qui nous aime d’un amour si fort qu’il souffre de voir son peuple malade, son peuple souffrant.
Dieu va apparaître comme le Dieu qui sauve, le Dieu qui guérit.
Guérison de tout un peuple. Combien de fois à travers toute l’histoire d’Israël, non la guérison, n’est pas simplement physique, la guérison est aussi une guérison familiale, elle est une guérison sociale.
Quand tout ce peuple est sous la férule des tortionnaires pendant l’esclavage et lorsque Dieu appelle Moïse au buisson ardent, le premier cri de Dieu, « j‘ai vu« , « j’ai vu la souffrance de mon peuple« , ses cris sont montés jusqu’à moi et c’est pourquoi, il envoie Moïse pour le libérer et comment à travers cette libération, et à travers les 40 ans de séjour au désert, Dieu va façonner ce peuple, va le guérir progressivement de toutes ses habitudes qu’il avait prises pendant l’esclavage en Égypte pour en former un peuple selon son cœur. Un peuple capable d’accueillir sa parole, un peuple capable de vivre de tous ses décrets, de toutes ses lois, de tout au fond, de tout ce qui fait le bonheur fondamental d’un peuple.
Oui Dieu apparaît comme celui qui est le sauveur, comme le libérateur, comme celui qui guérit les personnes et les familles et les peuples et les cœurs tout entiers.
2 août 1978 Paray-le-Monial : Carrefour sur la guérison
Musique : Zino Saint Martin
Bon chemin!