Jn 10 : Il échappa

Ce sont moins des reproches, mon cher Fils, que des avis paternels, que vous avez pu lire dans mes deux dernières lettres…
Quelque pressé que vous soyez, mon cher Fils, vaquez suffisamment à l’oraison : ce n’est que là que vous trouverez, en assez grande abondance, cette paix d’âme d’où vous ne devez jamais sortir ; c’est là que vous apprendrez à vous résigner et à prendre patience, dans les nombreuses difficultés et contradictions qui ne manquent jamais dans les Etablissements qui doivent produire de grands biens. Adorez souvent intérieurement, adorez toujours en toutes choses les dispositions de la Providence.
Ayons toujours présente cette maxime de foi, que rien n’arrive sans l’ordre ou sans la permission de Dieu.

Lettre 432 à M. Clouzet 9.04.1827.

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