Chaleureuses retrouvailles à l’école Sainte-Foy des Sœurs. La grande famille marianiste venait d’Italie (les deux Administrations générales), d’Espagne (deux cars), d’Autriche, de Suisse, de Tunisie, et de la France entière, bien sûr. Le Canada a envoyé un message.
Samedi 14 mai est le jour le plus long. Quand nous partons en bus vers Lompian, la météo ne sait pas encore comment va tourner le ciel brumeux et frais du matin. Il y a longtemps, sans doute, que l’église du village ne s’est pas remplie comme pour cette messe d’ouverture de la fête marianiste.
Pourquoi Lompian, près de Damazan ? Parce que son curé, au temps d’Adèle, était le conseiller spirituel du groupe de jeunes filles qu’elle avait réunies pour connaître, aimer et servir le Seigneur sous la conduite de Marie.
Dans son homélie, le P. Manuel Cortes a évoqué le programme spirituel et missionnaire de ces jeunes et commenté le triptyque qui va pèleriner autour de l’univers marianiste à partir de cette Pentecôte. Au centre, une icône de Cana écrite par le P. Salvatore Santacroce, sm, et de part et d’autre, des lettres autographes d’Adèle et de Guillaume-Joseph.