- Le 16 novembre 1825 : la S.M. est approuvée civilement par ordonnance royale (Charles X)
- Le 23 mai 1828 c’est le tour des Filles de Marie
Pour le Père Chaminade, les Filles de Marie et la Société de Marie constituaient une seule et même Famille : l’Institut de Marie. Le supérieur général avait pour mission d’être le supérieur spirituel des Filles de Marie comme l’indiquent les Constitutions. En réalité, le P. Chaminade était à la fois père sur le plan spirituel et sur le plan matériel. On peut presque dire que les deux congrégations avaient une caisse commune, le P. Chaminade gérait sans faire de différence quant à la provenance des fonds.
En 1831 Mère Saint Vincent
Qui a succédé à Mère Adèle, après avoir pris conseil de l’Evêque, demande au P. Chaminade de séparer les comptes. Peiné de ce que Mère St Vincent ait eu recours à l’Evêque, il s’exécute et cela se révélera une démarche très heureuse qui mettra au grand jour la délicatesse et du P. Chaminade et des Filles de Marie.
A la même époque survint un autre conflit à propos de la clôture. M. St Vincent en référa à l’Evêque qui interdit au P. Chaminade d’entrer dans la communauté sans autorisation écrite de l’Evêque et sans être accompagné d’un autre prêtre. Cela fut cause de malentendus. Le P.Chaminade dut s’expliquer en répondant à tout un questionnaire et finalement tout rentra dans l’ordre. A partir de 1833, M. St Vincent manifeste une vénération profonde à l’égard du P. Chaminade et lui resta fidèle jusqu’au bout même durant les années de son éviction par la Société de Marie. De son côté, le P.Chaminade exprima à plusieurs reprises l’admiration qu’il avait à l’égard de M. St Vincent.
Lorsque le Père Caillet fut élu supérieur général, les Filles de Marie demeurèrent fidèles à l’estime portée au P. Chaminade en même temps qu’elles obéirent aux décisions du Saint Siège et des chapitres généraux. Mais cette fonction allait devenir source de difficultés sous le généralat du Père Caillet.
En 1856, M. Marie Joseph de Castéras (1856-1874) (cousine germaine d’Adèle) devient supérieure générale.
C’est à elle qu’on doit la première biographie d’Adèle (1861). C’est une dirigée du Père Ginhac, S.J. (ce qui marque une distance vis à vis de la S.M.).
C’est à l’occasion du remaniement des constitutions (1866), pour leur permettre d’être approuvées par Rome, que surviennent des difficultés avec le Père Caillet et c’est alors qu’est rompu le lien de juridiction qui rattachait les Filles de Marie à la S.M. A partir de ce moment, la présidence des chapitres généraux est attribuée à l’Evêque et non plus au supérieur général de la S.M. Le 14 juillet 1869, Rome permet d’ajouter « Immaculée » au nom de la Congrégation. Les constitutions sont approuvées, à titre d’essai pour 7 ans, le 28.2.1874. La 1ère approbation définitive a lieu le 1er Août 1888 sous Léon XIII, la 2ème en 1984.
Entre 1874 et 1888, M. Marie Sophie Baud
Elle aussi dirigée par le P. Ginhac, eut à gouverner l’Institut dans une période difficile :
- Les Jésuites sont supprimés en 1880
- Entre 1880 et 1888 : différentes lois pour la laïcité sont votées :
Suppression des crucifix dans les écoles et les lieux publics,
Suppression de l’enseignement du catéchisme dans les écoles,
Des impôts divers sont prélevés sur les biens de l’Eglise et des congrégations.
Elle consacre l’Institut au Cœur de Jésus par le Cœur Immaculé de Marie.
De 1888 à 1907 : M. Marie Stanislas Pernier
C’est à elle qu’on doit la fondation de Petit Val à Sucy en 1890.
La lutte anti-religieuse prend une nouvelle ampleur.
Dès 1899 il y a de violentes attaques contre le clergé régulier accusé :
- D’enseigner une morale médiévale avec les vœux,
- De résister aux lois fiscales,
- De diminuer l’autorité du clergé séculier (concurrence aux paroisses)
La Loi de 1901 sur les associations impose aux Congrégations non autorisées de demander l’autorisation sous peine d’être dissoutes.
Ces autorisations furent finalement supprimées en 1904 et le droit d’enseigner retiré à toutes les Congrégations. En même temps intervient la liquidation des biens des Congrégations (confiscation et vente avec inventaire dans les maisons).
En 1905 : séparation de l’Eglise et de l’Etat et confiscation des églises et presbytères. (Pie X, par peur d’un schisme, repousse les associations cultuelles qui auraient permis de garder la propriété. Cela durera jusqu’en 1921 où les relations furent rétablies avec Rome.)
Sentant l’orage venir les Filles de Marie songent à partir vers l’étranger (pour rester en France, il fallait se séculariser) :
- 1901 : 5 Sœurs passent en Espagne à Deva (cette année la Province d’Espagne fête son centenaire)
- 1903 : des Sœurs de Lons vont à Surcé en Suisse, dirigent une école jusqu’en 1907
- 1904 : des Sœurs de Corse s’installent à Nuoro en Sardaigne (à l’origine des premières vocations italiennes)
1905-06 : Sucy, Lons, Arbois, Agen, les 4 écoles de Corse et toutes les petites écoles des campagnes du Gers, Lot et Garonne doivent fermer.
Il y a, à ce moment, des demandes de fondation :
Un Frère de Marie est parti prospecter en Pologne pour les Frères et les Sœurs,
Demande pour le Brésil, le Japon où les Frères attendent des Sœurs, Moscou
1905 : la S.M. met, à la disposition des Sœurs, la maison d’Antony qui devient pension de famille : parmi les pensionnaires il se trouve des dames et des religieuses sécularisées. Celles-ci se réunissent, le soir, pour prier, dans les sous-sols.
De 1907 à 1918 : M. Marie Thérèse de St Joseph Bouquerand
Elle cherche une résidence pour l’Administration générale hors de France :
En 1909 : l’AG s’installe à Nivelles, en Belgique, non loin de l’AG de la S.M.
En 1911 : ouverture d’un noviciat à Nivelles
En 1912 : fondation d’une école paroissiale à Argenteuil, non loin de Paris et St Claude dans le Jura
En 1916 : on fête le 1er centenaire de l’Institut à Nivelles.
De 1919 à 1936 : M. Marie Mechtilde Pouilh-Mauriez (dirigée également par le Père Ginhac)
On la considère comme la seconde fondatrice de l’Institut car elle l’a sauvé durant les années difficiles de la sécularisation et de la guerre.
En 1901 elle est supérieure de Sucy et fait partie du conseil général.
A partir de 1904, M. Stanislas Pernier est en Espagne où elle mourra, puis en 1909 c’est M. M. Thérèse Bouquerand qui se trouve en Belgique.
Mechtilde fait face à la sécularisation, puis elle fera le lien entre la France, l’Espagne et la Belgique pendant la guerre.
Avant d’être supérieure générale, elle cherche à créer de nouvelles œuvres de façon à fournir du travail aux religieuses sécularisées.
En 1908 elle crée « l’union de tout secours » dont elle est présidente : elle y propose des cours ménagers, des cercles d’étude, des placements pour des personnes sans travail, elle organise des distributions de vêtements, y fait donner des instructions de morale et de religion.
A Antony, elle accueille des retraites, des réunions d’œuvres, et même des jeunes gens qui viennent pour une réunion mensuelle.
A partir de 1915 elle y ouvre un noviciat clandestin.
Le Droit canonique de 1919 va faire perdre les 2 vœux de stabilité et d’enseignement de la foi et des mœurs chrétiennes.
Pendant son généralat, plusieurs fondations ont lieu en France et en Espagne en particulier à Saint Sébastien. Dès les débuts, en Espagne, les Frères se montrent très proches des Sœurs.
De 1937 à 1959 : Mère Adèle Guy
Son généralat est marqué par une grande expansion missionnaire.
Pendant la guerre de 39-45, elle franchira souvent la ligne de démarcation à travers les vignes du Jura, déguisée en vendangeuse…de façon à visiter les Sœurs en territoire occupé et les autres.
Les communautés d’Espagne continuent à se développer : Huarte, Madrid, Sotillo, Figueras, Valence, Barcelone.
Mère Adèle travaille à la révision des Constitutions avec Le Père Hoffer qui deviendra supérieur général de la SM.
Le chapitre général de 1947 prend des décisions importantes :
- Le gouvernement est réorganisé selon les 3 offices
- Le vœu de stabilité est ajouté aux 3 autres.
Les Constitutions retrouvent ainsi l’esprit de la Fondation.
Le 27 décembre 1947, toutes les professes perpétuelles qui le souhaitent émettent le vœu de stabilité.
En 1949 : fondation
- en Italie,
- aux U.S.A.
- au Japon.
Ces fondations se font en lien étroit avec la S.M.
1959 : élection de M. Marie du Saint Sacrement Descaves
1962 – 1965 : le Concile Vatican II
1963 : Fondation en Afrique au Togo. Fondation réalisée, à la demande des Religieux de la Province de Suisse, en particulier le Père Mattlé, qui avaient fondé le lycée Chaminade à Lama – Kara et qui ne voyaient l’implantation de la foi que par des familles ce qui supposait de scolariser non seulement des garçons mais aussi des filles dans une école catholique.
Deux Françaises, une Italienne et une Espagnole embarquent à Bordeaux, destination Lomé, à la fin du mois d’août 1963 et peu à peu se mettaient à l’ouvrage.
1965 : le chapitre général est réuni à Sucy en Brie. De deux districts, on passe à 5 (France, Espagne, Italie, Japon et USA) plus une mission au Togo. Il décide de transférer la maison généralice à Rome.
1966 : transfert à Rome de l’Administration Générale et du noviciat qui était à Sucy en Brie.
Vatican II avait demandé à toutes les Congrégations religieuses d’entrer dans la voie de l’aggiornamento et donc de revoir leurs Règles de Vie.
1969 (été) – 1970 (janvier) : le chapitre général se réunit à Rome et rédige une nouvelle Règle de Vie « ad experimentum » après un travail intense de consultation réalisé auprès des communautés. (Le Père Hoffer qui est supérieur général à ce moment-là est souvent consulté).
Il s’en suit une période de recherches, d’adaptation, d’expériences en vue d’un retour aux sources de l’Evangile et au charisme des Fondateurs pour un meilleur service de la mission comme l’a demandé le décret du Concile sur la vie religieuse du Concile : « Perfectae Caritatis ». C’est aussi l’époque d’une plus grande sensibilité aux pauvres.
Cette Règle est restée en vigueur jusqu’à l’approbation définitive, après révision, en 1984.
1970 : les districts sont érigés en provinces. Cela amène la mise en place de nouvelles structures de gouvernement en particulier des conseils de province et des conseils extraordinaires de congrégation. Le premier conseil extraordinaire général s’est tenu à Rome en 1971.
1971 : La province d’Espagne part fonder en Colombie à Bogota où elle reprend le collège Pacelli.
Le chapitre général de 1972 élit Mère Maria Aranzazu LEGORBURU, supérieure générale.
Espagnole, c’est elle qui est à l’origine de la fondation du Japon. C’est une femme d’une grande ouverture d’esprit et d’une foi profonde.
1973 : ouverture d’une communauté dans la favella Santo Domingo à Medellin en Colombie. Un peu plus tard un noviciat est ouvert mais aucune des premières Colombiennes ne parviendra à l’engagement définitif : il faudra attendre jusqu’en 1993 pour avoir de jeunes Colombiennes qui fassent leur première profession et poursuivent jusqu’à l’engagement définitif.
1976 : la France ouvre un nouveau noviciat à Villecresnes non loin de Sucy en Brie. La communauté, tout en gardant une part d’activité sur l’établissement scolaire de Petit Val, s’investit sur la paroisse.
C’est le moment où les Sœurs commencent à s’engager dans l’accompagnement des fraternités, voire à susciter des fraternités.
1977 : les Sœurs quittent la maison de la Grange au Bois où se trouve l’administration provinciale. Celle-ci est transférée dans le pavillon qui est située à l’entrée de Petit Val. La maison de retraite des Cèdres démarre durant l’été.
1978 : l’établissement scolaire « Sainte Marie » de Lons passe d’une direction religieuse à une direction laïque. Déjà en 1972, à Ajaccio la direction de l’Ecole était à un directeur laïc. Tout cela va entraîner peu à peu pour les Sœurs et les communautés une nouvelle manière de se situer dans les établissements : nous apprenons à devenir partenaires dans une certaine dépendance.
1979 : la France ouvre une petite communauté à Saint Médard en Jalles, dans un quartier éloigné de l’église avec pour mission, notamment d’être présence d’Eglise au milieu des gens.
En 1987 démarre une pré-fraternité marianiste.
1979 : le Japon envoie deux Sœurs en Corée pour étudier la langue en vue d’une fondation qui a lieu quelques mois plus tard. Très vite, elles ont des contacts avec des jeunes filles attirées par la vie religieuse. C’est un moment de fort développement de l’Eglise en Corée du Sud.
Les jeunes affluent et se forment…Un jardin d’enfants est ouvert puis de petites communautés auprès des paroisses. Les Sœurs s’engagent à fond dans la pastorale paroissiale.
1981 : l’Espagne part pour le Chili et ouvre une communauté à Santiago, puis le noviciat qui accueillera des Chiliennes, des Brésiliennes, des Argentines. Dans les moments de violence durs de la dictature de Pinochet, dans les quartiers proches du noviciat, lorsque les Chiliennes seront tentées de rejoindre les manifestants, la présence d’Argentines et de Brésiliennes permettra de prendre du recul.
1982 : le chapitre élit Mère Maria Teresa CASTRO.
Ce chapitre reprend le texte de la Règle de Vie qui était « ad experimentum » et se prononce sur le nouveau texte qui lui est présenté par la commission des Constitutions, élue au chapitre de 1977, texte qui a été rédigé après plusieurs consultations des différentes communautés de la Congrégation. Le Texte voté est soumis à la Congrégation des Religieux et reçoit son approbation définitive le 25 mai 1984.
Le 5 juin 1986 la Congrégation pour les causes des saints publie le Décret qui reconnaît la Vénérabilité d’Adèle de Batz de Trenquelléon.
(C’est Mgr Rodier qui, en 1946, avait lancé l’étude de la cause au niveau du diocèse. Le Père Verrier, S.M. a consacré beaucoup de temps à l’étude de la cause d’Adèle, c’est à lui que l’on doit notamment la Positio.)
La Vénérabilité d’Adèle donne lieu à de nombreuses célébrations d’action de grâce pour ce que le Seigneur a donné à la Famille Marianiste et en particulier aux Sœurs mais aussi à l’Eglise par Mère Adèle.
1987 : l’Italie envoie trois Sœurs en Equateur. Elles vont fonder à Quinindé. Elles assurent la catéchèse dans le collège tenu par des Pères Comboniens italiens, visitent les pauvres et les malades et s’engagent dans les activités pastorales de la paroisse. Quelques années plus tard, elles ouvrent un noviciat à Quito auprès du noviciat des Frères. En 1999, elles déménagent pour un endroit plus spacieux, endroit qui leur permet d’accueillir des groupes de jeunes, des femmes pour leur formation et leur promotion.
1988 : Ouverture d’une communauté à Abidjan en Côte d’Ivoire pour permettre aux jeunes Sœurs africaines de poursuivre leurs études. (formation professionnelle, pastorale, catéchétique). L’une ou l’autre travaille au collège Notre Dame d’Afrique. (enseignement, secrétariat)
A la fin de l’année, le noviciat de Villecresnes est transféré à Béthanie, une maison qui vient d’être construite sur la propriété de Petit Val, pour la communauté et le noviciat. Cette maison devient communauté d’accueil pour des rencontres de la Province, de la Famille Marianiste. Peu à peu la communauté s’investit de façon différente dans l’école et s’ouvre sur le secteur pastoral.
1989 : les trois jeunes Brésiliennes qui ont fait leur noviciat au Chili et qui s’approchent de leur engagement définitif partent ouvrir une communauté au Brésil. Elles sont accompagnées par une Sœur espagnole. Elles prennent le temps de se former au plan professionnel avant d’ouvrir un noviciat.
10 juin 1989 : Bicentenaire de la naissance d’Adèle de Batz de Trenquelléon
Comme il se doit il est célébré de façon toute particulière à Agen.
Le 10 juin au soir, les élèves de Sainte Foy, d’Astaffort et de la petite école de Feugarolles donnent un spectacle son et lumière qui retrace la vie d’Adèle dans la cour du château. Autour de 1000 personnes assistent au spectacle. Un moment émouvant : celui où la photo de Mère Adèle est projetée sur sa chambre.
Le lendemain, dans une cathédrale comble, une très belle messe fait monter l’action de grâce de tous vers le Seigneur. L’Evangile d’où partent douze rubans tenus par douze personnes qui représentent les douze pays où se trouvent alors les Sœurs Marianistes est porté solennellement par le diacre.
Mgr Saint Gaudens, l’Evêque d’Agen, qui préside la célébration et qui lit, chaque jour, deux ou trois lettres d’Adèle, fait l’homélie. Il est heureux.
Toute la Famille Marianiste est représentée ainsi que des délégations d’Italie, d’Espagne, des Etats Unis…
1992 : le chapitre élit Mère Maria Blanca JAMAR
Le chapitre provincial de France tenu en deux sessions en 1994 et 1995 décide une première restructuration des communautés de la Province. Le maître mot est « AUTREMENT » c’est-à-dire se situer autrement dans le service de la mission en privilégiant ce pourquoi nous avons été fondées à savoir l’accompagnement des laïcs des fraternités, les laïcs qui œuvrent dans les établissements scolaires dont nous assumons la tutelle, les laïcs avec lesquels nous partageons la mission dans les paroisses.
Il est décidé de se retirer de trois communautés : St Médard en 1996, Astaffort en 1997 et Ajaccio en 1998. Dans le même temps la Province reçoit un appel du diocèse de Bourges, diocèse pauvre au plan de la foi et particulièrement éprouvé par le chômage. La fondation d’une communauté a lieu à la fin de l’été 1998. Elle reçoit pour mission d’accompagner les laïcs qui acceptent de prendre des responsabilités en particulier dans le domaine de la catéchèse et de susciter des fraternités.
En 2001 deux pré-fraternités existent et sont bien vivantes.
En 1997, le Togo ouvre une nouvelle communauté au Sud de Kara, à Tchébébé pour la catéchèse des jeunes dans les collèges et la promotion de la femme. Une Sœur italienne et deux jeunes Togolaises commencent à rayonner sur les villages qui leur sont confiés.
En janvier 2001, deux Sœurs américaines répondent à l’appel du Mexique et ouvre une communauté où elles accueillent deux jeunes qui pensent à la vie religieuse marianiste à Queretaro.
L’année 2000-2001, en France, est marquée par une nouvelle restructuration. Les normes exigées pour les maisons d’accueil de personnes âgées conduisent le Conseil provincial à prendre la décision de se retirer de Vico en Corse. Et dans le même temps le Conseil lance un projet d’agrandissement de la maison de retraite des Cèdres à Sucy en Brie de façon à permettre la médicalisation.
De plus en plus les Sœurs partagent la mission avec les Laïcs.